Après deux finales perdues en 1922 et en 1935, la Coupe de France allait enfin sourire au Stade Rennais. L'expérimenté Jean Prouff, entraîneur des Bretons et adepte de la tactique à "l'anderlechtoise" (formation en 4-2-4 appelée le WM), permettait aux Rennais d'accomplir un parcours historique en inscrivant 29 buts en 7 rencontres disputées, record jamais égalé. Le festival breton débutait face au Red Star (2-0), 
puis devant le RC Lens (4-3). Mais le plus beau restait à venir avec un huitième de finale devant l'Olympique Saint-Quentinois, où les Rennais ne faisaient pas dans la demi-mesure en inscrivant dix buts (10-0). Les victoires en quart de finale face à Nice (5-2) et en demi-finale devant Saint-Etienne (3-0) laissaient présager un véritable sommet pour la finale face à Sedan
puis devant le RC Lens (4-3). Mais le plus beau restait à venir avec un huitième de finale devant l'Olympique Saint-Quentinois, où les Rennais ne faisaient pas dans la demi-mesure en inscrivant dix buts (10-0). Les victoires en quart de finale face à Nice (5-2) et en demi-finale devant Saint-Etienne (3-0) laissaient présager un véritable sommet pour la finale face à Sedan
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