Figure incontournable de la jeunesse combourgeoise, Olivier Cocaign n'a jamais (délibérément) touché un ballon de foot dans sa jeunesse. « Je suis venu au foot grâce à mes enfants. » « À cause des enfants », corrige son épouse qui l'a vu beaucoup moins à la maison depuis qu'il « a pris le virus ».
Le virus qui a saisi Olivier Cocaign n'est pas celui du football spectacle professionnel. « C'est rare que j'aille voir un match pro. Le foot qui m'intéresse, c'est celui des enfants. » Sa présence pendant vingt-huit ans auprès des plus jeunes du club combourgeois a été récompensée, samedi, par la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports que lui a remise Roger Jouan, président départemental, accompagné d'Annick Le Dy, secrétaire régionale, à la suite du parrainage de Claude Fouville, membre du comité de direction et en présence d'André Badignon, maire-adjoint. Responsable de l'école de foot, Olivier Cocaign a connu tous les terrains, l'ancien stade de Melesse, Moulin-Madame. Et comme toute la jeunesse combourgeoise, il attend avec impatience le nouveau terrain. Ancien enseignant au CPSA, aujourd'hui à la retraite, il consacre une journée et demie par semaine aux jeunes footballeurs. Le reste du temps qu'il ne consacre pas à sa famille et à ses petits-enfants, il le passe à pêcher la truite, à s'occuper de son jardin et à surfer sur le Net.
Le virus qui a saisi Olivier Cocaign n'est pas celui du football spectacle professionnel. « C'est rare que j'aille voir un match pro. Le foot qui m'intéresse, c'est celui des enfants. » Sa présence pendant vingt-huit ans auprès des plus jeunes du club combourgeois a été récompensée, samedi, par la médaille de bronze de la Jeunesse et des Sports que lui a remise Roger Jouan, président départemental, accompagné d'Annick Le Dy, secrétaire régionale, à la suite du parrainage de Claude Fouville, membre du comité de direction et en présence d'André Badignon, maire-adjoint. Responsable de l'école de foot, Olivier Cocaign a connu tous les terrains, l'ancien stade de Melesse, Moulin-Madame. Et comme toute la jeunesse combourgeoise, il attend avec impatience le nouveau terrain. Ancien enseignant au CPSA, aujourd'hui à la retraite, il consacre une journée et demie par semaine aux jeunes footballeurs. Le reste du temps qu'il ne consacre pas à sa famille et à ses petits-enfants, il le passe à pêcher la truite, à s'occuper de son jardin et à surfer sur le Net.